Mustapha Aziz révèle une grande conspiration orchestrée par le « deuxième homme » pour entraîner les Marocains dans la tentation.

Éclaircissement d’une affaire de fraude par le fondateur de la mouvance Maroc du Futur

Le Dr. Mustafa Aziz, fondateur et président du mouvement Maroc du Futur, a récemment publié une déclaration vidéo révélant les détails d’une vaste conspiration impliquant un réseau criminel. Cette conspiration serait dirigée par une figure prétendument proche des services de renseignement marocains.

Lors de sa déclaration le mardi 1er juillet, Aziz a affirmé avoir été victime d’une fraude orchestrée par Mehdi Hijawi, qui aurait également piégé des dizaines de citoyens marocains et étrangers dans des projets contre l’État marocain. Aziz a également dénoncé la responsabilité de certains responsables étatiques dans la condamnation de son fils, Abdellah Aziz, à deux ans de prison, suite à des allégations de son implication dans une organisation liée à Hijawi.

Dans ses messages récents, Aziz a suggéré qu’il et son fils étaient les cibles d’une revanche orchestrée par des personnalités influentes au sein des institutions de l’État. Plus récemment, il a déclenché une surprise en qualifiant la situation de « grande conspiration » et en assurant avoir obtenu des informations perturbantes à ce sujet.

Selon Aziz, le prétendu « homme de second rang » dans l’appareil de renseignement marocain a établi un réseau complexe utilisant des méthodes sophistiquées, telles que l’usurpation d’identité de Fouad Ali El Himma, proche conseiller du roi, pour tromper les victimes avec des projets fictifs à prétention officielle. Ce n’est qu’à travers les enquêtes menées par les services de sécurité marocains qu’Aziz a découvert la nature frauduleuse de ces agissements, qui n’ont pas ciblé seulement lui, mais également d’autres citoyens.

En signe de reconnaissance, Mustafa Aziz a exprimé sa gratitude au directeur général de la sécurité nationale, Abdellatif Hammouchi, pour son efficacité à déjouer ce réseau criminel. Il a également présenté des excuses publiques au directeur de la Direction Générale des Études et de la Documentation (DGED), Mohammed Yassine Mansouri, expliquant que ses précédentes déclarations avaient été influencées par des informations trompeuses.

Aziz a affirmé que le mouvement Maroc du Futur demeure engagé dans la défense des intérêts du pays et refuse toute implication dans les activités douteuses que ce réseau a cherché à lui attribuer, réaffirmant son dévouement sous la devise « Dieu, la patrie, le roi ».

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