Une vidéo choquante diffusée sur les réseaux sociaux, révélant les images d’une violence impensable au sein d’une crèche du quartier Bir Chifa à Tanger.
Avertissement : La vidéo contient des scènes extrêmement violentes et perturbantes
مقتل رضيعة بعدما عنفتها طفلة تبلغ 8 سنوات داخل حضانة بمنطقة بئر الشيفا في #طنجة pic.twitter.com/j3yoTw7lYg
— Tanja7 (@Tanja7com) October 30, 2025
Une fillette de 8 ans, censée « s’occuper » des tout-petits, a brutalement agressé un nourrisson en le jetant au sol à plusieurs reprises avant de le frapper violemment avec ses pieds.
L’enfant a succombé ultérieurement à une hémorragie interne, déclenchant une enquête judiciaire immédiate et une vague d’indignation publique.
Des images insoutenables qui circulent en ligneLa séquence, partagée massivement sur les plateformes sociales, montre la fillette de 8 ans en train de « prendre soin » des bébés dans la crèche.
Face aux pleurs de la victime, une petite fille d’à peine quelques mois, l’enfant s’énerve et commet l’irréparable : elle soulève le nourrisson et le projette violemment contre le sol, répétant l’acte à plusieurs reprises. Sans intervention, elle achève son geste en piétinant l’enfant avec une rare brutalité. Ces images, d’une cruauté absolue, ont rapidement fait le tour de la Toile, provoquant un choc collectif
Selon les informations recueillies par les autorités, la fillette de 8 ans est scolarisée en deuxième année primaire dans une école du quartier Bir Chifa. Sa présence à la crèche s’inscrivait dans le cadre d’un programme de soutien linguistique, imposé par les contraintes professionnelles quotidiennes de ses parents. Obligés de travailler, ces derniers confiaient régulièrement leur fille à l’établissement, qui offrait un espace de garde étendue.
Lors de l’audition de la mère de la fillette, des révélations troublantes ont émergé. La femme, recherchée par les forces de l’ordre pour une affaire de chèque sans provision, a été immédiatement remise aux autorités compétentes. Quant à l’enfant elle-même, elle a été confiée à son père sur ordre du parquet général, en raison de son jeune âge. Les enquêteurs ont conclu à l’absence d’intention criminelle ou de responsabilité pénale, compte tenu de sa minorité.
